De Marguerite Yourcenar

Il s’agit d’un recueil de dix nouvelles, écrites séparément, puis réunies pour la publication de cet ouvrage. Marguerite Yourcenar s'est inspirée des fonds culturels méditerranéen ou extrême- oriental. Et c’est ainsi, que de la Chine à la Grèce, des Balkans au Japon, ces contes accompagnent le voyageur comme autant de clés pour une seule musique, venue d'ailleurs.

« Comment Wang-Fô fut sauvé » ;
« Le Sourire de Marko » ;
« Le Lait de la mort » ;
« Le dernier amour du prince Genghi » ;
« L'Homme qui a aimé les Néréides » ;
« Notre-Dame-des-Hirondelles » ;
« La Veuve Aphrodissia » ;
« Kâli décapitée » ;
« La Fin de Marko Kraliévitch » ;
« La Tristesse de Cornélius Berg ».
Le rêve, le mythe et la réalité se croisent, se frôlent et s’inspirent pour former une oeuvre édifiante avec laquelle on ne s’ennuie jamais, saisis que nous sommes par la surprise et l’émerveillement. La lecture est légère grâce au découpage en épisodes indépendants et l’écriture est sublimement poétique.

Qui est Marguerite Yourcenar ?
Marguerite Yourcenar, pseudonyme de Marguerite Cleenewerck de Crayencour, née le 8 juin 1903 à Bruxelles et morte le 17 décembre 1987 à Bar Harbor dans l'État du Maine, est une femme de lettres française. Romancière, nouvelliste et autobiographe, elle est aussi poétesse, traductrice, essayiste et critique littéraire.

Je le conseille
un peu beaucoup à la folie passionnément pas du tout